Notre lettre 1154 publiée le 27 janvier 2025

LES VEILLEURS POURSUIVENT
POUR LA 175ÈME SEMAINE
LEURS PRIÈRES POUR LA DÉFENSE
DE LA MESSE TRADITIONNELLE
DEVANT L'ARCHEVÊCHÉ DE PARIS
DU LUNDI AU VENDREDI
DE 13H À 13H30
10 RUE DU CLOÎTRE-NOTRE-DAME

English version at the bottom of the letter
Versione italiana in fondo alla lettera
Versión en español al pie de la carta
Deutsche version am Ende des Textes
Versão em português no final do texto



Chers Amis,


À Rome, ils font n’importe quoi ! Le pape a nommé la Sœur Brambilla, personne très aimable au reste, préfète du Dicastère pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique, autrement dit préfète de la vie religieuse. C’est ainsi qu’elle est en charge de tous les religieux et consacrés du monde, et notamment, pour les communautés de rite traditionnel, des instituts ex-Ecclesia Dei, des bénédictins du Barroux, Fontgombault, et filles de Fontgombault, des religieux de Saint-Vincent-Ferrier de Chémeré, des Chanoines de la Mère de Dieu de Lagrasse, etc.

L’ennui, comme nous expliquent les canonistes, c’est que les Dicastères romains ont un pouvoir de « juridiction ordinaire » par délégation du Pape, qui comprend un pouvoir législatif, administratif, parfois même doctrinal. Or, le Code de Droit canonique (canon 274 - § 1) dit que seuls les clercs peuvent recevoir des offices dont l'exercice requiert le pouvoir de gouvernement ecclésiastique (= juridiction). Et une femme, même religieuse, a un statut de fidèle laïque : elle ne peut pas recevoir ce pouvoir du pape.

Qu’à cela ne tienne, le Pape a nommé auprès d’elle le cardinal Ángel Fernández Artime comme pro-préfet, qui signera tous les documents avec la préfète. La préfète décidera et le pro-préfet validera du point de vue canonique. Autrement dit, elle n’est préfète de rien, mais elle fait tout comme une préfète. Un coup de com., en somme, qui ne coûte rien. Sauf un double salaire… Génial !

Il me vient une idée folle : puisqu’on rêve de décléricaliser et de féminiser, pourquoi s’arrêter en si bon chemin. Pourquoi ne pas nommer pas à la tête d’une paroisse une curesse avec un pro-curé à côté d’elle, à la tête d’un diocèse une évêquesse avec un pro-évêque ? Allons plus loin. Pourquoi pas ne cardinale avec un pro-cardinal ? Et même, pardonnez mon audace synodale, une papesse avec un pro-pape ?

La polémique m’emporte, me direz-vous. Il n’empêche : dans le diocèse de Bruxelles, Mme Rebecca Alsberge, mère de quatre enfants, a été nommée coordinatrice territoriale du Brabant wallon avec le titre déléguée épiscopale. L’archevêque a demandé à ses prêtres de nommer dans la prière eucharistique cette vicaresse générale : « Et maintenant, Seigneur, rappelle-toi tous ceux pour qui nous offrons le sacrifice : en premier lieu, ton serviteur notre Pape François, notre évêque Luc, tous les évêques, prêtres et diacres, notre déléguée épiscopale Rebecca Alsberge, et tous ceux qui sont responsables de votre peuple. »

Et les introductions subreptices des laïcs dans les rôles cléricaux se multiplient. D’ailleurs par le motu proprio Spiritus Domini du 11 janvier 2021 le pape François a décidé que les ministères du lectorat et de l’acolytat peuvent être conférés à des femmes, décision d’ailleurs de pur principe, puisqu’elles en exerçaient déjà les fonctions. On voit des femmes pas prêtres mais « ministresses » qui participent aux concélébrations. Je vous avais raconté comment en Suisse, à Zurich, l’agente pastorale zurichoise, Monika Schmid concélébrait et même présidait des concélébrations, avec évidemment de vrais prêtres à côté d’elle. Ce principe du mélange clercs/laïcs dans les célébrations est une formule qui va se multipliant. Je vous rapportais qu’en Malaisie, en juin dernier, après une séance de travail, le cardinal Sebastina Francis restant assis à la table de travail avait concélébré avec les prêtres assis également au milieu des autres participants hommes et femmes.

On voit des dames, non pas diaconesses, mais presque, qui donnent l’homélie. À Fortogna, en Italie, souvenez-vous, une homélie dominicale a été prononcée par Manuela Murazzano, prédicatrice du groupe Sabaoth Dolomiti (un groupe « vaudois », comme on dit en Italie pour qualifier les protestants locaux), spécialiste du gospel, vêtue liturgiquement en noir avec une étole, devant les paroissiens médusés. Plus synodal, je meurs.

Quant à nous, fidèles du Christ, laïques et qui entendons le rester, nous prions pour cette Église qu’on bouleverse et qu’on martyrise pour l’accorder aux modes du monde, et où l’on fait tout pour casser la tradition liturgique. Nous prions et nous veillons. Notre nombre s’accroît doucement devant les bureaux de l’archevêché, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, où nous récitons le chapelet du lundi au vendredi, de 13h à 13h 30. Toujours « vigilants » sont à Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, XIXe, ceux qui le récitent le mercredi à 17h, et encore ceux qui, devant Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, XIVe, le récitent le dimanche à 18h15.


Echos de Veille : Un groupe de policiers passe devant nous ; l’un d’entre eux nous salue discrètement de la tête et lève le pouce en signe de soutien. Au même moment, un sans-abri qui nous connaît bien nous offre son sourire et son bonjour habituel, levant les mains vers le Ciel. Des hommes de Paix...


En union de prière et d’amitié.

Christian Marquant

contact@veilleurs-paris.fr.


175th WEEK: THE SENTINELS CONTINUE THEIR PRAYERS

FOR THE DEFENSE OF THE TRADITIONAL MASS

IN FRONT OF THE ARCHDIOCESE OF PARIS




In Rome, these days, anything goes! The Pope has now appointed Sister Brambilla, a very kind person, as Prefect of the Dicastery for Institutes of Consecrated Life and Societies of Apostolic Life, that is, Prefect of the Religious Life. That means that it is she who is now in charge of superintending over all the religious and consecrated people in the world, and also, in particular, the communities of traditional rite, the ex-Ecclesia Dei institutes, the Benedictines of the Barroux, Fontgombault and the daughters of Fontgombault, the religious of Saint Vincent Ferrier de Chémeré, the Canons of the Mother of God of Lagrasse, etc.

The problem, as the canonists have explained, is that the Roman Dicasteries have a power of “ordinary jurisdiction” by concession of the Pope, which includes a legislative, administrative and sometimes even doctrinal power. Now, the Code of Canon Law (canon 274 – § 1) says that only clerics can be assigned to offices the exercise of which requires the power of ecclesiastical government (=jurisdiction). And a woman, even a religious, has the status of a lay faithful: she cannot receive this power from the Pope.

However, the Pope has appointed Cardinal Ángel Fernández Artime as pro-prefect, who will sign all the documents with the prefect. The prefect will decide and the pro-prefect will validate everything from the canonical point of view. In other words, she is not prefect of anything, but she does everything like a prefect. A publicity stunt, in short, that costs nothing. Except a doubling of the salaries… Brilliant!

A crazy idea occurs to me: since we dream of declericalizing and feminizing ourselves, why stop there? Why not appoint a female parish priest with a pro-parish priest at her side as head of a parish, or a female bishop with a pro-bishop at the head of a diocese? Let us go even further. Why not a female cardinal with a pro-cardinal? And, pardon my synodal audacity, a female pope with a pro-pope?

The controversy makes me digress, one might say. However, in the diocese of Brussels, Mrs Rebecca Alsberge, mother of four children, was appointed territorial coordinator of Walloon Brabant with the title of episcopal delegate. The archbishop asked his priests to name this “vicaress general” in the Eucharistic prayer: “And now, Lord, remember all those for whom we offer the sacrifice: first of all, your servant our Pope Francis, our Bishop Luke, all the bishops, priests and deacons, our episcopal delegate Rebecca Alsberge and all those who are responsible for their people.”

And the surreptitious introductions of lay people into clerical functions are increasing. Moreover, with the motu proprio Spiritus Domini of January 11, 2021, Pope Francis decided that the ministries of lector and acolyte can be conferred to women, a decision of pure principle, since they were already exercising those functions. We see women who are not priests but “ministers” participating in concelebrations. Some time ago, I have already had the opportunity to mention how in Switzerland, in Zurich, the pastoral agent of that town, Monika Schmid, concelebrated and even presided over concelebrations, obviously with real priests at her side. This principle of mixing clergy and lay people in the celebrations is a formula that is bound to be multiplied. As I have also mentioned before, in Malaysia, last June, after a working session, Cardinal Sebastian Francis, while remaining seated at the working table, concelebrated with several priests also seated among the lay men and women.

We see ladies, not deaconesses, but almost, delivering the homily. In Fortogna, Italy, let us remember, a Sunday homily was given by Manuela Murazzano, preacher of the Sabaoth Dolomiti group (a "Valdez" group, as they say in Italy to describe the local Protestants), a specialist in the Gospel, liturgically dressed in black with a stole, in front of a congregation of completely astonished parishioners. One cannot get more synodal than that…

As for us, faithful of Christ, lay people who want to remain so, we pray for this Church which is being turned upside down and martyred to conform to the fashions of the world, and where everything and anything is done to destroy break liturgical tradition into pieces and wreck it. We pray and we keep watch. Little by little, our number increases in front of the offices of the archbishopric, at 10, rue du Cloître-Notre-Dame, where we pray the rosary from Monday to Friday, from 1:00 p.m. to 1:30 p.m. And other sentinels also “keep watch” in vigil at Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, praying the rosary on Wednesday at 5 p.m., and in front of Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, on Sunday at 6:15 p.m.


Echoes of the vigils: A group of policemen walk past us; one of them nods discreetly and gives us a thumbs-up in support. At the same time, a homeless man who knows us well offers us his smile and greets us as he usually does, raising his hands to the skies. Men of Peace...


175ª SETTIMANA: LE SENTINELLE CONTINUANO LA LORO PREGHIERA

PER LA DIFESA DELLA MESSA TRADIZIONALE

DAVANTI ALL'ARCIDIOCESI DI PARIGI




A Roma fanno di tutto! Il Papa adesso ha nominato Suor Brambilla, persona gentilissima, Prefetto del Dicastero per gli Istituti di Vita Consacrata e le Società di Vita Apostolica, cioè Prefetto della Vita Religiosa. È quindi lei che dovrà oggi sovraintendere a tutti i religiosi e le persone consacrate del mondo, e anche, in particolare alle comunità di rito tradizionale, gli istituti ex-Ecclesia Dei, i benedettini di Barroux, di Fontgombault e le figlie di Fontgombault, i religiosi di San Vincenzo Ferrier di Chémeré, i Canonici della Madre di Dio di Lagrasse, ecc.

Il problema, come ci spiegano i canonisti, è che i Dicasteri romani hanno un potere di “giurisdizione ordinaria” per concessione del Papa, che comprende un potere legislativo, amministrativo e talvolta anche dottrinale. Ora, il Codice di Diritto Canonico (can. 274 – § 1) afferma che solo i chierici possono occupare uffici il cui esercizio richiede la potestà di governo ecclesiastico (= giurisdizione). E una donna, anche una religiosa, ha lo status di fedele laica: non può ricevere questo potere dal Papa.

Tuttavia, il Papa ha nominato pro-prefetto il cardinale Ángel Fernández Artime, che firmerà tutti i documenti insieme al prefetto. Deciderà il prefetto e il pro-prefetto convaliderà dal punto di vista canonico. In altre parole, non è prefetta di nulla, ma fa tutto come un prefetto. Una trovata pubblicitaria, insomma, che non costa nulla. A parte il doppio degli stipendi... Geniale!

Mi è venuta un'idea folle: se sogniamo di declericalizzarci e femminilizzarci, perché soffermarci qui? Perché non nominare un “parrochessa” con un pro-parroco al suo fianco a capo di una parrocchia, o una “vescovessa” con un pro-vescovo a capo di una diocesi? Ma andiamo ancora più oltre. Perché non un cardinale donna con un pro-cardinale? E poi, perdonate l'audacia sinodale, una papessa con un pro-papa?

Si potrebbe dire che la polemica mi fanno divagare. Nella diocesi di Bruxelles, invece, la signora Rebecca Alsberge, madre di quattro figli, è stata nominata coordinatrice territoriale per il Brabante Vallone con il titolo di delegata episcopale. L’arcivescovo ha addirittura chiesto ai suoi sacerdoti di nominare questa “vicaressa generale” nella preghiera eucaristica: “E ora, Signore, ricordati di tutti coloro per i quali offriamo il sacrificio: prima di tutto, il tuo servo il nostro Papa Francesco, il nostro Vescovo Lucas, tutti i vescovi, i sacerdoti e i diaconi, la nostra delegata episcopale Rebecca Alsberge e tutti coloro che sono responsabili del loro popolo.”

E sono in aumento le infiltrazioni surrettizie di laici nelle funzioni ecclesiastiche. Inoltre, con il motu proprio Spiritus Domini dell'11 gennaio 2021, Papa Francesco ha deciso che i ministeri del lettorato e dell'accolitato potessero essere conferiti alle donne, decisione di puro principio, poiché esse già esercitavano di fatto tali funzioni. Vediamo donne che non sono sacerdoti ma “ministri” che partecipano alle concelebrazioni. Vi ho raccontato come in Svizzera, a Zurigo, l'agente pastorale di quella città, Monika Schmid, ha concelebrato e perfino presieduto a concelebrazioni, ovviamente affiancata da veri sacerdoti. Questo principio di mescolare clero e laici nelle celebrazioni è una formula che si moltiplicherà. Vi avevo anche detto che in Malesia, lo scorso giugno, dopo una sessione di lavoro, il cardinale Sebastian Francis, pur rimanendo seduto al tavolo di lavoro, ha concelebrato con i sacerdoti seduti anch'essi tra i partecipanti laici, uomini e donne.

Vediamo delle donne, non diaconesse, ma quasi, che fanno l'omelia. A Fortogna, in Italia, ricordiamoci, un’omelia della domenica è stata tenuta da Manuela Murazzano, predicatrice del gruppo Sabaoth Dolomiti (gruppo valdese), specialista del Vangelo, vestita liturgicamente in nero, con la stola, davanti a un’assemblea di parrocchiani allibiti. Più sinodale di ciò, si muore…

Quanto a noi, fedeli di Cristo, laici che desiderano rimanere tali, preghiamo per questa Chiesa che viene sconvolta e martirizzata per conformarsi alle mode del mondo, e dove si fa di tutto per distruggere la tradizione liturgica. Preghiamo e vegliamo. A poco a poco, siamo sempre più numerosi davanti all'arcivescovado, al numero 10 di rue du Cloître-Notre-Dame, dove preghiamo il rosario dal lunedì al venerdì, dalle 13:00 alle 13:30. E altre sentinelle che “vigilano” a Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, che lo recitano mercoledì alle 17:00, e coloro davanti a Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, domenica alle 18:15.


Echi delle veglie: un gruppo di agenti di polizia ci passa accanto; uno di loro annuisce discretamente e ci fa un pollice in su in segno di sostegno. Nello stesso momento, un senzatetto che ci conosce bene ci rivolge il suo solito sorriso e ci saluta, alzando le mani al cielo. Uomini di pace...


SEMANA 175: LOS CENTINELAS CONTINÚAN SUS ORACIONES

EN DEFENSA DE LA MISA TRADICIONAL

DELANTE DE LA ARCHIDIÓCESIS DE PARÍS




¡En Roma hacen de todo! El Papa ha nombrado Prefecta del Dicasterio para los Institutos de Vida Consagrada y las Sociedades de Vida Apostólica, es decir Prefecta de la Vida Religiosa, a Sor Brambilla, una persona muy amable. Así es que es ella quien ahora tiene el encargo de sobrentender a todos los religiosos y consagrados del mundo, y también en particular, a las comunidades de rito tradicional, los institutos ex-Ecclesia Dei, los Benedictinos del Barroux, Fontgombault e hijas de Fontgombault, los religiosos de San Vicente Ferrier de Chémeré, los Canónigos de la Madre de Dios de Lagrasse, etc.

El problema, como nos explican los canonistas, es que los Dicasterios romanos tienen un poder de “jurisdicción ordinaria” por delegación del Papa, que incluye un poder legislativo, administrativo y a veces incluso doctrinal. Ahora bien, el Código de Derecho Canónico (canon 274 – § 1) dice que sólo los clérigos pueden recibir oficios cuyo ejercicio requiere el poder del gobierno eclesiástico (=jurisdicción). Y una mujer, incluso religiosa, tiene el estatus de fiel laica: no puede recibir este poder del Papa.

Sin embargo, el Papa ha nombrado pro-prefecto al cardenal Ángel Fernández Artime, quien firmará todos los documentos con el prefecto. El prefecto decidirá y el pro-prefecto validará desde el punto de vista canónico. En otras palabras, ella no es prefecta de nada, pero hace todo como una prefecta. Un truco publicitario, en definitiva, que no cuesta nada. Salvo el doble de sueldo… ¡Genial!

Se me ocurre una idea loca: ya que soñamos con desclericalizarnos y feminizarnos, ¿por qué detenernos ahí? ¿Por qué no nombrar a una párroca con un pro-párroco a su lado como jefe de una parroquia, o a una obispa con un pro-obispo al frente de una diócesis? Vayamos más allá. ¿Por qué no una cardenala con un pro-cardenal? ¿Y además, perdonen mi audacia sinodal, una papisa con un pro-papa?

La polémica me hace divagar, se podría decir. Sin embargo, en la diócesis de Bruselas, la señora Rebecca Alsberge, madre de cuatro hijos, fue nombrada coordinadora territorial del Brabante Valón con el título de delegada episcopal. El arzobispo pidió a sus sacerdotes que nombraran a esta “vicaria general” en la plegaria eucarística: "Y ahora, Señor, acuérdate de todos aquellos por quienes ofrecemos el sacrificio: en primer lugar, tu siervo nuestro Papa Francisco, nuestro obispo Lucas, todos los obispos, sacerdotes y diáconos, nuestra delegada episcopal Rebecca Alsberge y todos aquellos que son responsables de su pueblo. »

Y las introducciones subrepticias de laicos en funciones clericales están aumentando. Además, con el motu proprio Spiritus Domini del 11 de enero de 2021, el Papa Francisco decidió que los ministerios de lectorado y acólito puedan ser conferidos a mujeres, una decisión de puro principio, puesto que ellas ya ejercían dichas funciones. Vemos mujeres que no son sacerdotes sino “ministras” que participan en las concelebraciones. Os he contado cómo en Suiza, en Zurich, la agente pastoral de Zurich, Monika Schmid, concelebró e incluso presidió concelebraciones, obviamente con verdaderos sacerdotes a su lado. Este principio de mezclar clérigos y laicos en las celebraciones es una fórmula que se multiplicará. Os he informado de que en Malasia, en junio pasado, después de una sesión de trabajo, el cardenal Sebastina Francis, permaneciendo sentado en la mesa de trabajo, concelebró con los sacerdotes también sentados entre los demás participantes hombres y mujeres.

Vemos señoras, no diaconisas, pero casi, que dan la homilía. En Fortogna, Italia, recordemos, la homilía dominical estuvo a cargo de Manuela Murazzano, predicadora del grupo Sabaoth Dolomiti (un grupo "Valdez", como dicen en Italia para describir a los protestantes locales), una especialista en el evangelio, vestida litúrgicamente de negro con una estola, delante de los atónitos feligreses. Más sinodal, se muere…

En cuanto a nosotros, fieles de Cristo, laicos y cuantos queremos seguir siéndolo, oramos por esta Iglesia que está siendo revuelta y martirizada para conformarse a las modas del mundo, y donde se hace todo lo posible para destrozar la tradición litúrgica. Rezamos y velamos. Poco a poco, nuestro número aumenta frente a las oficinas del arzobispado, en el 10, rue du Cloître-Notre-Dame, donde rezamos el rosario de lunes a viernes, de 13:00 a 13:30 horas. Y otros centinelas más que “vigilan” en Saint-Georges. de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, XIXe, que lo rezan el miércoles a las 17 horas, y los que lo rezan delante de Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, XIVe, domingo a las 18.15 horas.


Ecos de las vigilias: Un grupo de policías pasa frente a nosotros; uno de ellos asiente discretamente y nos levanta el pulgar en señal de apoyo. Al mismo tiempo, un hombre sin hogar que nos conoce bien nos ofrece su habitual sonrisa y saludo, levantando sus manos al Cielo. Hombres de Paz...


175. WOCHE: DIE WÄCHTER SETZEN IHRE GEBETE

FÜR DIE VERTEIDIGUNG DER TRADITIONELLEN MESSE

VOR DER ERZDIÖZESE VON PARIS FORT




In Rom machen sie alles! Der Papst hat Schwester Brambilla, eine sehr freundliche Person, zur Präfektin des Dikasteriums für die Institute des geweihten Lebens und die Gesellschaften des apostolischen Lebens, das heißt zur Präfektin des Ordenslebens, ernannt. So ist sie nun diejenige, die sich um alle Ordensleute und geweihten Menschen in der Welt kümmert, insbesondere um die Gemeinschaften des traditionellen Ritus, die ehemaligen Institute der Ecclesia Dei, die Benediktinerinnen von Barroux, Fontgombault und die Töchter von Fontgombault, die Ordensleute des Heiligen Vincent Ferrier von Chémeré, die Kanoniker der Mutter Gottes von Lagrasse usw.

Das Problem, so erklären uns die Kanonisten, besteht darin, dass die römischen Dikasterien durch die Konzession des Papstes über die Macht der „ordentlichen Jurisdiktion“ verfügen, die die Gesetzgebungs-, Verwaltungs- und manchmal sogar die Doktringewalt umfasst. Nun besagt der Codex des kanonischen Rechts (Canon 274 – § 1), dass nur Kleriker Ämter erhalten können, deren Ausübung die Gewalt der kirchlichen Leitung (= Jurisdiktion) erfordert. Und eine Frau, selbst eine Ordensfrau, hat den Status einer gläubigen Laienfrau: Sie kann diese Macht nicht vom Papst erhalten.

Allerdings hat der Papst Kardinal Ángel Fernández Artime zum Propräfekten ernannt, der alle Dokumente gemeinsam mit dem Präfekten unterzeichnen wird. Die Entscheidung liegt beim Präfekten und die Bestätigung aus kanonischer Sicht erfolgt durch den Propräfekten. Mit anderen Worten: Sie ist in nichts der Präfekt, aber sie macht alles wie einen Präfekt. Kurz gesagt, ein Werbegag, der nichts kostet. Außer dem doppelten Gehalt … Großartig!

Mir kommt eine verrückte Idee: Wenn wir davon träumen, uns zu entklerikalisieren und zu feminisieren, warum sollten wir dabei stehen bleiben? Warum nicht eine „Pfarrerin“ mit einem Pro-Pfarrer an ihrer Seite an die Spitze einer Pfarrei stellen oder eine „Bischöfin“ mit einem Pro-Bischof an die Spitze eines Bistums? Gehen wir weiter. Warum nicht ein Kardinal Frau mit einem Prokardinal? Und außerdem, verzeihen Sie meine synodale Dreistigkeit, eine Päpstin mit einem Propapst?

Man könnte sagen, Kontroversen lassen mich abschweifen. In der Diözese Brüssel wurde jedoch Frau Rebecca Alsberge, eine Mutter von vier Kindern, zur Gebietskoordinatorin für Wallonisch-Brabant mit dem Titel einer bischöflichen Delegattin ernannt. Der Erzbischof bat seine Priester, diesen „Generalvikar“ im eucharistischen Gebet zu benennen: „Und nun, Herr, gedenke aller, für die wir das Opfer darbringen: vor allem deines Dieners, unseres Papstes Franziskus, unseres Bischofs Lucas, alle Bischöfen, Priestern und Diakonen, unserer bischöflichen Delegierten Rebecca Alsberge und allen, die Verantwortung für ihr Volk tragen. »

Und die heimliche Einführung von Laien in kirchliche Funktionen nimmt zu. Darüber hinaus entschied Papst Franziskus mit dem Motu proprio Spiritus Domini vom 11. Januar 2021, dass die Dienste des Lektors und des Akolythen an Frauen übertragen werden könnten – eine rein prinzipielle Entscheidung, da sie diese Funktionen bereits ausübten. Wir sehen Frauen, die keine Priester, sondern „Minister“ sind und an den Konzelebrationen teilnehmen. Ich habe Ihnen erzählt, wie in der Schweiz, in Zürich, die Pastoralbeauftragte von Zürich, Monika Schmid, Konzelebrationen durchgeführt und sogar Konzelebrationen geleitet hat, natürlich mit echten Priestern an ihrer Seite. Dieses Prinzip, Geistliche und Laien bei den Feierlichkeiten zu vermischen, ist ein Konzept, das sich verbreiten wird. Ich habe Sie darüber informiert, dass Kardinal Sebastian Francis im vergangenen Juni nach einer Arbeitssitzung in Malaysia am Arbeitstisch sitzen blieb und mit den Priestern konzelebrierte, die ebenfalls unter den teilnehmenden Laien – Männern und Frauen – saßen.

Wir sehen Damen, keine Diakonissen, aber fast, die die Predigt halten. In Fortogna, Italien, hielt, erinnern wir uns, die Sonntagspredigt Manuela Murazzano, Predigerin der Gruppe Sabaoth Dolomiti (eine "Valdez"-Gruppe, wie man in Italien die örtlichen Protestanten nennt), eine Spezialistin für das Evangelium, liturgisch gekleidet in Schwarz, mit Stola, vor den erstaunten Gemeindemitgliedern. Synodaler geht es nicht...

Wir, die Gläubigen Christi, Laien und jene, die es bleiben möchten, beten für diese Kirche, die auf den Kopf gestellt und gemartert wird, um sich den Moden der Welt anzupassen, und in der alles getan wird, um die liturgische Tradition zu zerstören. Wir beten und wachen. Nach und nach wächst unsere Zahl vor dem Büro der Erzdiözese in der Rue du Cloître-Notre-Dame 10, wo wir von Montag bis Freitag von 13.00 bis 13.30 Uhr den Rosenkranz beten. Und andere Wächter, die „Wache halten“ bei Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, die es am Mittwoch um 17 Uhr beten, und diejenigen vor Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, am Sonntag um 18:15 Uhr. Uhr.


Echos der Mahnwachen: Eine Gruppe Polizisten geht an uns vorbei; einer von ihnen nickt dezent und zeigt uns anerkennend den Daumen nach oben. Gleichzeitig lächelt uns ein Obdachloser, der uns gut kennt, wie immer zu, winkt und streckt die Hände zum Himmel. Männer des Friedens ...


175ª SEMANA: OS SENTINELAS CONTINUAM AS SUAS ORAÇÕES

PELA DEFESA DA MISSA TRADICIONAL

DIANTE DA ARQUIDIOCESE DE PARIS




Em Roma faz-se de tudo e mais alguma coisa! Agora, o Papa nomeou a Irmã Brambilla, que é muito simpática, como Prefeita do Dicastério para os Institutos de Vida Consagrada e Sociedades de Vida Apostólica, ou seja, Prefeita da Vida Religiosa. É ela, pois, que está agora encarregada de superintender a todos os religiosos e consagrados do mundo inteiro, e também, em particular, às comunidades de rito tradicional, os institutos ex-Ecclesia Dei, as Beneditinas de Barroux, de Fontgombault e as filhas de Fontgombault, os religiosos de São Vicente Ferrer de Chémeré, os Cónegos da Mãe de Deus de Lagrasse, etc.

O problema, como nos explicam os canonistas, é que os Dicastérios Romanos têm um poder de “jurisdição ordinária” por concessão do Papa, que inclui o poder legislativo, administrativo e, por vezes, até doutrinário. Ora, o Código de Direito Canónico (cânone 274 – § 1) determina que só os clérigos podem ser titulares de ofícios cujo exercício requeira o poder de governo eclesiástico (=jurisdição). E uma mulher, mesmo uma religiosa, tem o estatuto de uma fiel leigo: não pode receber esse poder do Papa.

No entanto, o Papa nomeou o Cardeal Ángel Fernández Artime como pró-prefeito, que assinará todos os documentos com o prefeito. O prefeito decidirá e o pró-prefeito validará do ponto de vista canónico. Por outras palavras, não é prefeita de nada, mas faz tudo como um prefeito. Um golpe publicitário, em suma, e que não custa nada. Excepto a duplicação dos salários… Genial!

Ocorre-me uma ideia louca: se sonhamos em desclericalizar-nos e feminilizar-nos, porquê parar por aí? Porque não nomear uma “pároca” com um pró-pároco ao seu lado à frente da paróquia, ou uma “bispa” com um pró-bispo à frente da diocese? E podemos ir ainda mais longe. Porque não uma “cardeala” com um pró-cardeal? E, mais ainda, se me perdoam a ousadia sinodal, uma papisa com um pró-papa?

Pode dizer-se que a polémica me faz divagar. Porém, na diocese de Bruxelas, a Senhora Rebecca Alsberge, mãe de quatro filhos, foi nomeada coordenadora territorial para o Brabante Valão com o título de delegada episcopal. O arcebispo chegou mesmo a pedir aos seus sacerdotes que nomeassem esta “vigária-geral” na oração eucarística: “E agora, Senhor, lembrai-Vos de todos aqueles por quem oferecemos o sacrifício: em primeiro lugar, o vosso servo, o nosso Papa Francisco, o nosso Bispo Lucas, todos os bispos, sacerdotes e diáconos, a nossa delegada episcopal Rebecca Alsberge e todos aqueles que são responsáveis pelo seu povo.

E as infiltrações sub-reptícias de leigos em funções clericais estão a aumentar. Além disso, com o motu proprio Spiritus Domini de 11 de Janeiro de 2021, o Papa Francisco decidiu que os ministérios de leitor e acólito poderiam ser conferidos a mulheres, uma decisão de puro princípio, uma vez que, de facto, elas já desempenhavam essas funções. Vemos senhoras que não são sacerdotisas, mas “ministras”, a participar em concelebrações. Já tive ocasião de mencionar como na Suíça, em Zurique, a agente pastoral dessa cidade, Monika Schmid, concelebrou e até presidiu a concelebrações, obviamente com verdadeiros sacerdotes ao seu lado. Este princípio de misturar clérigos e leigos nas celebrações é uma fórmula que, prevemos, irá multiplicar-se. Como referi tempos atrás, na Malásia, em Junho último, após uma sessão de trabalho, o Cardeal Sebastian Francis, permanecendo sentado à mesa de trabalho, concelebrou com os sacerdotes também sentados entre os outros participantes leigos, homens e mulheres.

Vemos senhoras, não diaconisas, mas quase, a fazerem a homilia. Em Fortogna, Itália, recordemos, uma homilia dominical foi proferida por Manuela Murazzano, do grupo Sabaoth Dolomiti (um grupo "Valdez", como se diz em Itália para descrever os protestantes locais), especialista nos Evangelhos, revestida de indumentos litúrgicos, de negro e com estola, diante dos olhos de uma assembleia de paroquianos completamente atónitos. Mais sinodal do que isto é impossível…

Quanto a nós, fiéis de Cristo, leigos que assim desejam permanecer, rezemos por esta Igreja que está a ser virada do avesso e martirizada para se conformar às modas do mundo, e onde tudo está a ser feito para destroçar a tradição litúrgica. Rezamos e vigiamos com as nossas vigílias. Pouco a pouco, o nosso número está a aumentar em frente dos escritórios da arquidiocese, rue du Cloître-Notre-Dame, 10, onde rezamos o terço de segunda a sexta-feira, das 13h00 às 13h30. E outros sentinelas, que “vigiam” em Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, rezando também o terço quarta-feira às 17h00, e os que estão em diante de Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, domingo às 18h15.


Ecos das vigílias: Um grupo de polícias passa por nós; Um deles acena discretamente e faz-nos um sinal de positivo em apoio. Ao mesmo tempo, um sem-abrigo que nos conhece bem oferece-nos o seu habitual sorriso e aceno, levantando as mãos para o céu. Homens de Paz...

A la une

S'abonner à notre lettre hebdomadaire

Si vous désirez recevoir régulièrement et gratuitement la lettre de Paix Liturgique, inscrivez-vous.
S'ABONNER

Paix Liturgique
dans le monde

Parce que la réconciliation liturgique est un enjeu pour toute l'Église universelle, nous publions tous les mois des lettres dans les principales langues du monde catholique. Découvrez et faites connaître nos éditions étrangères.

Télécharger notre application

Soutenir Paix Liturgique